Mardi 28 décembre 2010.
neige fraiche froide = de 90 à 98%
neige fondante = 50 à 60%
neige fondue ou sale (comme sable sur neige des Alpes) = 40%
glaciers = 50% (variable selon la couverture de débrits).
océans = 5 à 15%
glaces de mer = 50 à 85%
déserts de sable = jusque 35%
roches nues = 20 à 25%

Plus les glaces de mer sont épaisses, plus elles sont capables de stopper les échanges thermiques océan/atmosphère.
Le soleil reste avec beaucoup de mystères. C'est depuis 1978 que sont mis en orbite des satellites pour étudier notre étoile. Les deux derniers envois datent de mai 2010 et visent à mieux comprendre les cycles du soleil.
Actuellement, la contribution du soleil au réchauffement est controversée. Néanmoins, son influence sur le climat pourrait être tirée du satellite Picard lancé en mai. Mais il faudra du temps pour avoir des résultats.
C'est à partir de ces résultats que l'on pourra vérifier les liens cycles/climat. A l'heure présente, il existe des hypothèses et non des certitudes, ce qui n'est pas la même chose.

de l’Agence Spatiale Européenne (ESA), destiné à l'étude des glaces terrestres, a été mis en orbite le 8 avril depuis Baïkonour au Kazakhstan. Source météo France.
L'épaisseur de la banquise sera mesurée avec une précision de l'ordre de 2 à 5 cm.
Premiers résultats dès cet été; durée de vie probable du satellite = 3 ans.
Bonne soirée

Mardi 26 janvier.
Depuis 2006, la calotte de la partie Est de l’Antarctique perd environ 57 milliards de tonnes de glace par an.  Cette perte est pour l’instant inexpliquée, même si elle n’est pas comparable aux 132 milliards de tonnes de perdues sur la calotte ouest.
Ces pertes sont essentiellement localisées le long des côtes.
C’est à partir d’images satellitaires du projet américain GRACE que ces constatations ont pu être établies.

(issu de la Recherche, janvier 2010).

Malgré la certitude de certains qui pensent que le soleil n’a plus à rien à nous dévoiler, le satellite Picard sera lancé d’ici février 2010.
Sa mission consistera, entre autres, de mesurer précisément l’éclairement total du soleil, son diamètre ou encore sa sphéricité.
Ces informations permettront de valider les modèles de fonctionnement de notre astre et de mieux comprendre son influence sur le climat de la terre.

Il est dit également que son lancement pourrait coïncider avec le regain d’activité solaire. Mais là encore, une grande prudence est de mise ; le minimum aurait été atteint à l’été 2008, mais comme son nouveau cycle tarde à démarrer, les responsables scientifiques de la mission se gardent bien de tout pronostic de ce genre.

En tout cas, la science continue ses explorations, se dote de nouveaux moyens de recherche et se fondera ainsi sur des faits et non des spéculations.